Voeux de la Présidente de la CTI


Chères directrices, chers directeurs d’établissement, chers partenaires institutionnels,

Chers collègues,

En cette nouvelle année, je tiens tout d’abord à adresser, au nom de la Commission des titres d’ingénieur, mes meilleurs vœux pour l’année 2024 aux écoles d’ingénieurs, à leurs dirigeants, leurs équipes et à l’ensemble des partenaires de la CTI, acteurs de l’enseignement supérieur, de l’assurance qualité, des métiers et des formations de l’ingénieur, des entreprises, des branches professionnelles, syndicats et associations d’ingénieurs.

Ce début d’année 2024 marque le début de la campagne d’évaluation de la vague E, soit celle des écoles des académies d’Amiens, Lille, Créteil, Versailles et la Réunion. Cette nouvelle vague sera officiellement lancée au moment du colloque annuel de la CTI les 5 et 6 février prochain. Le thème du colloque cette année aura pour titre : « Ingénieur dans un environnement incertain ».

Nous aurons plaisir à y retrouver les participants pour échanger sur l’évolution du métier d’ingénieur, mais aussi sur la méthodologie de la CTI, le bilan de la campagne passée et les évolutions à venir.

Avec le redémarrage des évaluations en Chine en 2023, les activités internationales de la CTI ont enfin repris comme avant la pandémie de Covid 19 et nous espérons qu’elles se poursuivront en 2024 avec de nouveaux projets en Europe et à l’étranger.

La CTI va également amplifier en 2024 le dialogue avec les parties-prenantes, les partenaires institutionnels comme la Cdefi, la CEFDG, Hcéres, le BNEI et aussi bien entendu les réseaux d’écoles et les responsables des écoles d’ingénieurs. La France a besoin d’ingénieurs et une formation de qualité est la meilleure des garanties pour la réussite des parcours.

Enfin, cette année 2024 sera celle de la fin de mon mandat de Présidente de la CTI. Nul doute que le travail amorcé par la CTI ces dernières années sera poursuivi, et j’aurai à cœur de passer le relais à mon successeur, pour que la CTI – à vos côtés – continue à faire rayonner les formations d’ingénieurs à la française garantissant leur qualité ainsi que celle de leur environnement.

Cordialement,

Elisabeth Crépon