La CTI accueille des délégations venues des quatre coins du globe


En cette rentrée 2019-2020, la CTI était très sollicitée par des représentants de l’enseignement supérieur et de l’assurance qualité venus d’Europe et des quatre coins du globe.

Mission d’étude d’une délégation du Mali

Dans le cadre du projet UNESCO/SHENZHEN visant le développement de l’assurance qualité dans l’enseignement supérieur et la recherche au Mali, des représentants de la Direction générale de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (DGESRS) du ministère homonyme ainsi que de la toute jeune Agence malienne d’assurance qualité de l’enseignement supérieur et de la recherche (AMAQ-SUP) ont effectué une mission d’étude en France et en Belgique.

Après avoir été accueillis au Hcéres et au Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, et avant de rejoindre l’Agence pour l’évaluation de la qualité de l’enseignement supérieur (AEQES) en Belgique, les collègues maliens ont passé une partie de la journée du 4 octobre à la CTI. Les échanges très riches ont porté sur les procédures et pratiques quotidiennes des deux agences et les défis à relever pour chacune d’elle.

La délégation était composée d’Abdel Kader Keita, directeur exécutif de l’AMAQ-Sup ; Soumaila Malle, chef de division habilitation et assurance qualité de la DGESRS ; Cedric Mayrargue, conseiller technique auprès de la DGESRS ; Diakaria Cisse, expert évaluateur, en activité dans l’enseignement supérieur privé ; et Soboua Thera, expert évaluateur, en activité dans l’enseignement supérieur public.

Ils étaient accueillis à la CTI par Patrick Obertelli, membre de la CTI et Marie-Jo Goedert, directrice exécutive.

Mission d’étude du Centre ENIC-NARIC de Bosnie-Herzégovine             

Dans le cadre du ‘‘Twinning project : Strengthening Institutional Capacity for Recognition of Qualifications in Higher Education”, France Education International (ex CIEP) a sollicité la CTI pour contribuer à l’accueil en France d’une délégation de 8 représentants du CIPCenter for Information and Recognition of Qualifications in Higher Education (le centre ENIC-NARIC de Bosnie-Herzégovine). 

Le programme, dont l’intérêt principal portait sur la reconnaissance des diplômes, était élargi à une approche plus générale des différents acteurs de l’enseignement supérieur français, à leurs rôles respectifs, et à l’articulation de leurs différentes interventions. La délégation a ainsi pu visiter le centre ENIC-NARIC France, le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, France Compétences, le Hcéres ainsi que la CTI.

Le 17 octobre 2019, les collègues étaient accueillis à la CTI par Marie-Jo Goedert, directrice exécutive, qui leur a présenté le rôle de la CTI et sa complémentarité avec les autres acteurs. Elle a notamment abordé les actions de la CTI en faveur de la reconnaissance du titre d’ingénieur diplômé à l’étranger, à l’exemple de la signature récente d’un accord avec l’ordre des ingénieurs australien, Engineers Australia, publié sur le site de la CTI.

La délégation était également très intéressée par les résultats d’un projet européen dans la cadre du programme ERASMUS+ auquel la CTI a participé : ‘‘Linking Academic récognition and Quality assurance’’. La publication des recommandations pratiques est disponible sur le site de la CTI.

Délégation internationale via le Réseau n+i                 

Une douzaine de représentants d’universités de neuf pays (Chili, Chine, Egypte, Equateur, Gabon, Ghana, Inde, Mexique, USA) ont été accueillis à la CTI lundi 30 septembre 2019.  Leur mission d’une semaine était organisée par le réseau n+i, avec le soutien du Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, pour faire découvrir l’enseignement supérieur français à des personnalités universitaires : présidents, doyens, responsables relations internationales, ou chefs de départements d’universités. À la CTI, Didier Erasme, membre de la CTI et du Bureau de la CTI, Coline Lorang et Myriam Van der Tol, responsables de processus d’audit au sein de l’équipe permanente de la CTI, leur ont présenté la formation d’ingénieur « à la française » et le système d’accréditation qui garantit la qualité des formations.